Dans un communiqué, la Communauté grecque de Berlin a affirmé :
« Deux ans se sont écoulés depuis la tragédie de Tempé — des décennies de négligence, de mauvaise gestion des fonds publics et d’infrastructures dangereuses ont conduit à cette catastrophe — et nous attendons toujours une totale transparence et que les responsables rendent des comptes. Les responsables doivent être jugés. La vérité ne peut pas être enterrée. »

Parmi leurs revendications :

  • Justice pour les victimes : La vérité appartient à tous, non seulement aux familles des victimes, mais à la société grecque dans son ensemble.
  • Transparence totale : Plus aucune preuve cachée, plus aucun retard.
  • Un avenir meilleur : La nouvelle génération a droit à la sécurité, pas à des mensonges.

Des manifestations ont eu lieu dans des dizaines de villes, notamment Wageningen aux Pays-Bas, Londres, Madrid et Copenhague. En Italie, les communautés grecques de Bologne et de Sienne ont également organisé des manifestations, tandis qu’en Amérique latine, le puissant slogan « Je n’ai pas d’oxygène » a résonné à Montevideo.

Les lecteur.rice.s de ThePressProject ont partagé des images des manifestations à travers le monde, témoignant d’un mouvement international qui refuse d’oublier Tempé.


Berlin


Wageningen, Pays-bas

 

Malte

 

Londre

Londre

Dublin

 

 

 

 

 

 

Copenhague

 

 

Madrid

Praça do Comercio, Lisbonne

 

 

Sienne
Bologne
Montevideo

 

Μοντεβιδέο
Montevideo

Marseille

Marseille

Chonologie de l’affaire de Tempé

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